L’imaginaire et le sport

Nous avons interrogé deux personnes sur le(s) sport(s) qu’ils pratiquent.

La première personne que nous avons interrogé pratique la marche sportive depuis 4 ans.

Etes-vous sportif ?

Oui.

Quels sports pratiquez-vous ?

La marche sportive

Combien de fois en faites vous par semaine et pendant combien de temps ?

Je le fais 2 fois par semaine et pendant 2 heures.

Que cherchez vous dans ces sports ?

Je cherche des sensations et faire le vide.

Faites vous parti d’un club ?

Oui.

Faites vous des compétitions ?

Oui.

Dans quel catégorie êtes vous ?

Cadettes.

Nous lui avons demandé ce qui l’intéressait dans le sport et on a pu voir que ce qui lui plaisait était le dépassement de soi et le faite de se changer les idées, faire le vide. Cette compétitrice recherche le dépassement d’elle même. Bref, de se mettre en jeu pour « faire le vide » dépasser le cadre de la vie « banale ».

En faisant des recherches sur la mythologie on retrouve cette mise en jeu et le sacrifice dans l’histoire d’Atalante : cette jeune femme défiait des garçons à la course. Vainqueur, il pouvait l’épouser, vaincu il était tué. On retrouve dans la course le sacrifice de soi dans l’épreuve ; des autres à la fin de l’épreuve.

Qu’en est-il pour les sports de montagne ?

La deuxième personne que nous avons interrogé pratique le ski, le snowboard, et la randonné.

Etes-vous sportif ?

Oui

Quels sports pratiquez-vous ?

Je fais du ski, du snowboard et de la randonné.

Combien de fois en faites vous par semaine et pendant combien de temps ?

J’en fait tous les jours pendant 2-3 heures.

Que cherchez vous dans ces sports ?

Je pratique ces sports pour l’amusement et pour me vider la tête.

Faites vous parti d’un club ?

Non.

Faites vous des compétitions ?

Non.

Dans quel catégorie êtes-vous ?

Dans le ski j’ai « la flèche », on l’obtient en faisant un slalom géant chronométrés.

Au ski, tout se passe comme si le skieur essaye de dominer la nature le temps d’un instant, d’une descente. Pour cela le skieur essaye de ne faire qu’un avec la nature. Dans la mythologie on parle de descente aux enfers : l’homme est englouti dans l’espace naturel. Vu de l’extérieur, l’effort physique semble très simple.

Point commun entre les 2 interviewés, le besoin d’éprouver des sensations, de faire le vide.

Edwige, Séverine, Pauline et Louison et M.Klapka

D’où vient l’énergie lors d’un effort sportif?

On constate qu’il nous faut beaucoup d’énergie lorsque que l’on se trouve aux sports d’hiver pour pouvoir maintenir notre corps à une température de 37° et avoir de bonnes conditions physiques pour faire du sport.

Pour cela, il faut bien se nourrir avant et après l’effort avec une alimentation variée, équilibrée et riche en sucres lents (pâtes, riz…)

Exemple d’un repas lors d’une journée au centre :

–          Petit-déjeuner : Jus d’orange, chocolat chaud et céréales, pain beurre avec confiture.

–          Déjeuner sur les pistes : Salade de riz, Sandwich avec jambon beurre et fromage, pomme et barres de céréales

–           Diner : Tartine de pain avec fromage chaud (bleu du Vercors) rôti de veau farci et mousse de châtaigne.

Avant et après l’effort, il faut se nourrir de glucides qui nous fournissent l’énergie immédiate nécessaires au fonctionnement de tout les constituants de notre corps, de lipides et de glucides lents qui servent pour le stockage et la redistribution en cas de besoins.

Lors de l’effort sportif la molécule de glucose se dégrade et libère de l’énergie.

Voici la reaction : C6H12O6 + 6O2 –> Co2H2O+énergie

Dans la cellule, la mitochondrie est la centrale énergétique de notre corps. La mitochondrie est un organite cytoplasmique cellulaire dont le rôle est essentiel à la production d’énergie et à la respiration.

Lors d’un effort sportif  l’énergie provient d’une source immédiate stockée dans les muscles c’est la phosphocréatine qui permet la régénération de l’ATP. L’ATP est l’Adénosine Triphosphate qui est la source de l’énergie chimique qui est transformé en énergie mécanique musculaire.

(Par Paul Jouan, Benjamin Hermon, Jean-loup Molé et Mehdi Monerie).

Ne perdez pas le nord !!!

Dans un milieu naturel, l’homme a parfois besoin de s’orienter. Il utilise généralement une carte et une boussole :

Voici la méthode pour s’orienter d’un point à l’autre:

Étape 1 : Le matériel

Vous devez disposer d’une carte ainsi qu’une boussole.

Étape 2 : Faire un saut (déplacement d’un point à un autre sans passer par les routes à partir d’une carte)

Sur la carte, prenez votre boussole, alignez celle-ci avec votre position actuelle et la position que vous souhaitez atteindre. Le bord de la plaquette est parallèle à la flèche bleue qui nous donne la direction à suivre.

 

Étape 3.

Il faut aligner le nord géographique de la carte (la ligne bleue de la carte) et le nord géographique de la boussole (la flèche rouge).

Étape 4.

Pour votre course, il ne vous reste plus qu’à prendre votre boussole dans la main et aligner la flèche rouge avec l’aiguille rouge.

Étape 5 : Suivre un cap

Pour vous déplacer allez dans la direction de la flèche bleue, repérez un point fixe dans la direction qu’indique celle-ci (ex: un arbre), une fois arrivé à votre point refaite les cette étape avec un autre point. Et tous cela en gardant l’aiguille rouge et la flèche rouge alignée.

Voici une autre méthode pour vous dirigez : l’azimut

 Lors de la course d’orientation nous avons du calculer des azimuts, voici comment nous avons procédé :

Étape 1.

Nous sommes allés à une balise, nous avons pointé la boussole en direction du centre. Ensuite nous avons aligner la flèche rouge avec celle du cadran et enfin nous avons lu l’azimut sur le cadran. Ex : 330°

Étape 2.

Si on avait voulu rejoindre le centre en coupant, on reprendrait l’étape 5 ci-dessus.

Conseil : lors d’une prise d’azimut, il faut toujours avoir la boussole à plat.

Jaouen, Thibault, Pierre, Alexandre.

Moniteur de ski

          Nous avons interviewé Emmanuel, un moniteur de ski de l’ESF et directeur technique de la station et Jean-Michel un moniteur de la station, ils ont répondu à quelques questions que nous leurs avons posées.

 1-Pourquoi avez-vous choisit ce métier ?

« J’ai choisit ce métier par passion »

2-Depuis combien de temps faites vous ce métier ?

« Je suis dans ce métier depuis 20 ans »

3-Depuis combien de temps voulez vous faire ce métier ?

« Depuis tout petit je veux faire ce métier »

4-Quel diplôme faut-il avoir pour devenir moniteur de ski ?

« Il faut le tronc commun (connaissance générale) pour passer le  brevet d’état.

Ce dernier nécessite  un bon niveau de ski.  »

5-Comment êtes-vous arrivez dans cette station ?

« Je suis venu ici car c’est une belle station »

6-Y-a-t-il un âge pour devenir et arrêter d’être moniteur de ski ?

« Non, tout est une question de passion »

7– Quels sont les risques du métier ?

« Le risque c’est de se blesser et donc de ne pas travailler et de ne pas être payé »

8-Combien de personnes pouvez-vous prendre dans un groupe ?

« Normalement 12 personnes mais ça peut varier selon l’affluence. »

9-Quels sont les salaires, du début et à la fin de votre carrière ?

« Je ne peux pas vous dire clairement sa varie beaucoup, mais l’heure d’un cours c’est a peut prêt 33 euros »

10-Combien y-a-t-il de moniteur de ski dans la station ? En France ?

« Sur cette station il y a 75 moniteurs et en France environ 15000 »

11-Dans la station, y-a-t-il une organisation (Patron, secrétaire…) ?

« Oui il y a un directeur, moi-même je suis directeur technique »

12-Seriez-vous prêt a changé de métier ?

« Non ! »

13- Ce métier est t-il mixte ?

« Oui, bien sûr il ya des femmes monitrices mais ce n’est pas 50\50

Jean-Michel, doyen numéro 3, nous a aussi parlé de son métier :

« C’est ma 38^ème années d’enseignement et c’est ma dernière. J’ai fait ce métier car dés 4 ans je skiai par la suite c’est devenu une passion et pour finir mon métier. Mais je le fais aussi par besoin. En saison estivale je suis plombier. »

Quentin,Emmanuel, Jean-Michel, Gaëtan, Antoine

Antoine Rouxel, Gaëtan Kersanté, Allan Lagrée, Quentin Treussard

Moniteur de ski

           Nous avons interviewé Emmanuel, un moniteur de ski de l’ESF et directeur technique de la station et Jean-Michel un moniteur de la station, ils ont répondu à quelques questions que nous leurs avons posées.

 1-Pourquoi avez-vous choisit ce métier ?

« J’ai choisit ce métier par passion »

2-Depuis combien de temps faites vous ce métier ?

« Je suis dans ce métier depuis 20 ans »

3-Depuis combien de temps voulez vous faire ce métier ?

« Depuis tout petit je veux faire ce métier »

4-Quel diplôme faut-il avoir pour devenir moniteur de ski ?

« Il faut le tronc commun (connaissance générale) pour passer le  brevet d’état.

Ce dernier nécessite  un bon niveau de ski.  »

5-Comment êtes-vous arrivez dans cette station ?

« Je suis venu ici car c’est une belle station »

6-Y-a-t-il un âge pour devenir et arrêter d’être moniteur de ski ?

« Non, tout est une question de passion »

7– Quels sont les risques du métier ?

« Le risque c’est de se blesser et donc de ne pas travailler et de ne pas être payé »

8-Combien de personnes pouvez-vous prendre dans un groupe ?

« Normalement 12 personnes mais ça peut varier selon l’affluence. »

9-Quels sont les salaires, du début et à la fin de votre carrière ?

« Je ne peux pas vous dire clairement sa varie beaucoup, mais l’heure d’un cours c’est a peut prêt 33 euros »

10-Combien y-a-t-il de moniteur de ski dans la station ? En France ?

« Sur cette station il y a 75 moniteurs et en France environ 15000 »

11-Dans la station, y-a-t-il une organisation (Patron, secrétaire…) ?

« Oui il y a un directeur, moi-même je suis directeur technique »

12-Seriez-vous prêt a changé de métier ?

« Non ! »

13- Ce métier est t-il mixte ?

« Oui, bien sûr il ya des femmes monitrices mais ce n’est pas 50\50

Jean-Michel, doyen numéro 3, nous a aussi parlé de son métier :

« C’est ma 38^ème années d’enseignement et c’est ma dernière. J’ai fait ce métier car dés 4 ans je skiai par la suite c’est devenu une passion et pour finir mon métier. Mais je le fais aussi par besoin. En saison estivale je suis plombier. »

 

 

La sécurité en groupe

1)      Respect d’autrui :

Toi et tes camarades respecterez les consignes initiales qui sont : la solidarité, le respect des consignes et des autres skieurs.

2)      Maîtrise de la vitesse et du comportement :

Toi et tes camarades respecterez les vitesses de chacun, et respecterez les progressions dans l’apprentissage du ski.

3)      Choix de la direction par celui qui est en amont :

4)      Dépassement :

Toi et tes camarades dépasserez sans perturber les skieurs en aval en anticipant leurs trajectoires (avec une distance de sécurité).

5)      Au croisement des pistes :

Toi et tes camarades attendrez le feu vert du moniteur du groupe.

6)      Stationnement :

Toi et tes camarades en cas de chute vous devrez stationner sur le bord de la piste en étant bien visible aux yeux de tous et dans une zone non risquée  pour ne pas gêner les autres skieurs.

7)      Montée et descente à pied :

Toi et tes camarades devrez monter à pied sur le bord de la piste et déchausser tes skis si cela est nécessaire.

8)      Respect de la signalisation :

Toi et tes camarades devrez connaître les panneaux de signalisation et bien sûr appliquer leur sens.

9)      Assistance :

Toi et tes camarades devrez aider toutes les personnes en danger et prévenir les secours en  cas de besoin.

En cas de chute vous devrez aider éventuellement mon camarade à repartir, signaler la chute au reste du groupe et aux autres skieurs

10)  Identification :   

Toi et tes camarades devrez vous identifier lorsque vous serez témoin ou acteur d’un accident.

La sécurité individuelle

Au ski il existe plusieurs règles à RESPECTER, tant au niveau de l’état d’esprit que de l’équipement !!

Tout d’abord, le skieur a l’obligation de respecter les signalisations et les balisages tout au long de sa descente. Il faut respecter les autres sans les mettre en danger ou endommager leur matériel. Par exemple, celui qui monte ou descend à pied doit se mettre sur le bord de la piste pour éviter tout contact avec les skieurs. Nous devons respecter une vitesse que nous pouvons contrôler et ajuster selon les conditions (temps, état de la neige) pour éviter ces accidents.

Il n’y a pas de règles pour dépasser quelqu’un, mais nous devons malgré tout respecter une distance de sécurité lors du dépassement.
En cas de chute, il faut libérer la piste le plus vite possible afin de ne pas gêner les autres skieurs ou éviter une autre chute.
Si l’on est témoin d’un accident, il faut immédiatement prévenir les secouristes tout en portant assistance au blessé, il faut signaler sa présence, à l’aide des bâtons de ski ou des skis par exemple, afin d’éviter que le blessé ne soit percuté. Ensuite, il faut lui porter les premiers secours mais uniquement si on en possède des notions. Il faut également lui parler continuellement afin de le tenir éveillé jusqu’à l’arrivée des secours au moins.

Il est impératif de n’être jamais seul, et d’être préparé physiquement car le ski est un sport TRES physique !

Enfin, un bon équipement est indispensable avant une sortie de ski (bonnet, lunettes, nourriture…)
En résumé, il faut s’informer, se préparer, s’équiper, se comporter et s’adapter !!

http://www.pyrenees-pireneus.com/SKI-10_commandements.htm

Cliquer pour accéder à CF-SkiMontagne_reglesSecurite.pdf

Cliquer pour accéder à Secours-65-accidentQueFaire.pdf